Les mercredis dans l'espace 122e
Date : Mercredi 9 novembre 2016 à 19h
Tarif : paf 7€ à 12€
1e partie : 3 pianistes pour 2 pianos / 2e partie : Nicolas Bacchus
19h Apéritif offert
19h30 3 pianistes pour 2 pianos
3 pianistes, 2 pianos... Une idée saugrenue, venue de l'envie de 3 pianistes de jouer ensemble des œuvres à 2 pianos. Les duos se succèdent, les pianistes s'échangent la place, passant du piano 1 au piano 2.
Aurélie Sustersic, Quentin Desjonquères et Alexandre Guhéry forment donc ces duos mobiles et vous interprètent des extraits des 2 suites pour 2 pianos de Serguei Rachmaninov.
Ces 2 œuvres, d'une grande intensité, contiennent en elles toutes les harmonies et les tournures mélodiques si chères à Rachmaninov. Les pianos y sont à la fois virtuoses, romantiques, passionnés, mélancoliques ou tonitruants.
Rien de tel qu'un programme russe pour amorcer l'hiver, en ce début de novembre !
Au programme :
Suite (Fantaisie-Tableaux) pour 2 pianos N°1, opus 5 - Serguei Rachmaninov
Suite pour 2 pianos N°2, opus 17 - Serguei Rachmaninov
20h15 Nicolas Bacchus
Chansons "qui touchent les bords"
Cinq ans après A Table (chansons bleues ou à poing), Nicolas Bacchus remet les pieds dans le plat de la chanson avec un nouvel album, La verVe et la Joie où la contrepèterie nous apprend que notre libertin libertaire est toujours amateur de belles plumes…
Nous voilà donc rassurés, Bacchus vieillit bien. Comme le bon vin. Quand d’aucuns se ramollissent au fil du temps, lui nous revient en pleine bourre, la quarantaine aux aguets, la rage subtile à fleur de peau, brandissant son besoin d’amour intarissable, dispensant une générosité démesurée avec l’humilité de celui qui a pris des coups dans la gueule et qui se relève.
Mais cela ne fait-il pas qu’un au bout du compte ? Bacchus ne nous la joue-t-il pas tout simplement passeur, souffleur de vers, en amoureux de la poésie populaire qu’il est? Il chante ses propres mots, ceux de ses collègues contemporains, ceux de Bernard Dimey sur une radieuse adaptation de La Pierrette à Pigalle ou ceux vibrants de Vladimir Vissotski (La fin du bal) avec la même passion, la même profondeur jaillissant de ce bel organe grave dont il est pourvu.
http://nicolas-bacchus.com